A l’approche de la ménopause, il n’est pas rare que certaines femmes rencontrent des insomnies. Pourquoi la ménopause peut-elle avoir un impact négatif sur le sommeil et comment lutter contre ces insomnies ? On vous explique.
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Pendant la ménopause et à l’approche de celle-ci, il arrive de rencontrer quelques problèmes de sommeil. Si vous traversez actuellement cette période, et que vous souffrez d’insomnies, sachez que vous n’êtes pas seule !
On estime qu’environ 1 femme sur 3 est concernée par l’insomnie au moment de la ménopause.
Dans la plupart des cas, ce symptôme gênant n’attend pas la ménopause elle-même pour apparaître. Il s’installe progressivement dès la péri-ménopause, c’est-à-dire la phase qui précède l’arrêt définitif des règles.
En effet, alors que la ménopause survient généralement autour de 50 ans, les premiers signes annonciateurs peuvent quant à eux apparaître dès l’âge de 40 ou 45 ans.
La périménopause ou préménopause, correspond au début des dérèglements hormonaux de la ménopause. Concrètement, il s’agit d’une diminution du nombre de follicules ovariens, qui s’accompagne d’une baisse des taux d’œstrogènes et de progestérone.
Ces modifications entraînent généralement un certain nombre de symptômes, les plus courants étant :
Si les troubles du sommeil sont si fréquents à la ménopause, c’est parce que celle-ci se trouve au croisement de nombreux facteurs favorisants.
La qualité et la structure du sommeil évoluent avec l’âge. En effet, le sommeil profond, qui correspond à la phase de sommeil la plus réparatrice, est particulièrement long pendant l’enfance, avant de se stabiliser à l’âge adulte.
Seulement, à partir de 50 ou 60 ans, la part de ce sommeil profond et paradoxal diminue, au profit d’un sommeil plus léger, sensible aux stimuli extérieurs. C’est pourquoi la plupart des seniors ont des nuits plus difficiles, marquées par des réveils nocturnes plus ou moins fréquents.
En préménopause, et de manière plus marquée pendant la ménopause elle-même, la sécrétion de plusieurs hormones est altérée : c’est notamment le manque d’oestrogène et de progestérone qui sont responsables des symptômes désagréables de la ménopause, y compris l’insomnie.
Pourquoi ?
→ La baisse de ces deux hormones s’accompagne souvent d’une diminution de la sécrétion de mélatonine, l’hormone du sommeil qui favorise notre endormissement et un bon sommeil. Du point de vue hormonal, tous les ingrédients sont donc réunis pour favoriser l’insomnie.
Lors de la ménopause, le sommeil des femmes est souvent perturbé par les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes, qui sont des symptômes extrêmement fréquents liés aux modifications hormonales. Stressantes et désagréables, parfois accompagnées de palpitations, les bouffées de chaleur ne favorisent pas la relaxation propice au sommeil ! Quant aux sueurs nocturnes, elles sont un facteur fréquent d’insomnie et de réveil nocturne.
Autour de la ménopause, les troubles de l’humeur ne sont pas rares : émotions vives, irritabilité, humeurs changeantes...les bouleversements hormonaux peuvent générer de l’anxiété et du stress. Et ce particulièrement chez les personnes ayant à la base un terrain anxieux.
Or, on sait que le stress est la première cause de l’insomnie psychophysiologique, et ce à tout âge. Là où le stress correspond à une réponse du corps à un stimulus extérieur (événement perturbant, charge de travail importante…), l’anxiété est un sentiment d’inquiétude diffus et permanent, dont les causes sont souvent plus difficiles à identifier. Dans les deux cas, cela se manifeste par une augmentation de l’activité cérébrale et un organisme en alerte, qui retardent et compliquent l’endormissement, et favorisent les réveils nocturnes.
Fort heureusement, l’insomnie à l’approche de la ménopause n’est pas une fatalité ! Ni l’insomnie en général d’ailleurs. Nous avons rassemblé pour vous quelques mesures simples pour diminuer vos problèmes d’insomnie à cette période si particulière de la vie.
Vous souffrez de troubles du sommeil liés à votre ménopause ? Découvrez quel type de dormeur(euse) vous êtes en seulement 2 minutes.
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Avoir un sommeil de qualité, cela s’apprend. Même à la ménopause, vous pouvez tout à fait mettre en place de nouvelles habitudes pour aider votre corps à reprendre naturellement le chemin du sommeil.
Par exemple :
Pour compléter ces quelques conseils et aller plus loin, découvrez notre article phare : 25 actions qui ont fait leurs preuves contre l’insomnie.
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En plus de ces bonnes habitudes, utiles à tout âge, il existe aussi des solutions spéciales pour soulager l’insomnie liée aux bouleversements de la ménopause.
Vous pouvez par exemple :
Vous souffrez d'insomnie et souhaitez mieux dormir ? Notre programme en ligne de retour au sommeil est basé sur la modification des pensées autour du sommeil et sur l’adaptation de votre mode de vie. Il permet de retrouver des nuits réparatrices en quelques semaines.
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Vous êtes en ce moment en ménopause ou périménopause et rencontrez des problèmes de sommeil ? N’hésitez pas à nous parler de vos insomnies en commentaires ci-dessous et à nous dire comment vous les gérez.
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Pendant la ménopause et à l’approche de celle-ci, il arrive de rencontrer quelques problèmes de sommeil. Si vous traversez actuellement cette période, et que vous souffrez d’insomnies, sachez que vous n’êtes pas seule !
On estime qu’environ 1 femme sur 3 est concernée par l’insomnie au moment de la ménopause.
Dans la plupart des cas, ce symptôme gênant n’attend pas la ménopause elle-même pour apparaître. Il s’installe progressivement dès la péri-ménopause, c’est-à-dire la phase qui précède l’arrêt définitif des règles.
En effet, alors que la ménopause survient généralement autour de 50 ans, les premiers signes annonciateurs peuvent quant à eux apparaître dès l’âge de 40 ou 45 ans.
La périménopause ou préménopause, correspond au début des dérèglements hormonaux de la ménopause. Concrètement, il s’agit d’une diminution du nombre de follicules ovariens, qui s’accompagne d’une baisse des taux d’œstrogènes et de progestérone.
Ces modifications entraînent généralement un certain nombre de symptômes, les plus courants étant :
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La qualité et la structure du sommeil évoluent avec l’âge. En effet, le sommeil profond, qui correspond à la phase de sommeil la plus réparatrice, est particulièrement long pendant l’enfance, avant de se stabiliser à l’âge adulte.
Seulement, à partir de 50 ou 60 ans, la part de ce sommeil profond et paradoxal diminue, au profit d’un sommeil plus léger, sensible aux stimuli extérieurs. C’est pourquoi la plupart des seniors ont des nuits plus difficiles, marquées par des réveils nocturnes plus ou moins fréquents.
En préménopause, et de manière plus marquée pendant la ménopause elle-même, la sécrétion de plusieurs hormones est altérée : c’est notamment le manque d’oestrogène et de progestérone qui sont responsables des symptômes désagréables de la ménopause, y compris l’insomnie.
Pourquoi ?
→ La baisse de ces deux hormones s’accompagne souvent d’une diminution de la sécrétion de mélatonine, l’hormone du sommeil qui favorise notre endormissement et un bon sommeil. Du point de vue hormonal, tous les ingrédients sont donc réunis pour favoriser l’insomnie.
Lors de la ménopause, le sommeil des femmes est souvent perturbé par les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes, qui sont des symptômes extrêmement fréquents liés aux modifications hormonales. Stressantes et désagréables, parfois accompagnées de palpitations, les bouffées de chaleur ne favorisent pas la relaxation propice au sommeil ! Quant aux sueurs nocturnes, elles sont un facteur fréquent d’insomnie et de réveil nocturne.
Autour de la ménopause, les troubles de l’humeur ne sont pas rares : émotions vives, irritabilité, humeurs changeantes...les bouleversements hormonaux peuvent générer de l’anxiété et du stress. Et ce particulièrement chez les personnes ayant à la base un terrain anxieux.
Or, on sait que le stress est la première cause de l’insomnie psychophysiologique, et ce à tout âge. Là où le stress correspond à une réponse du corps à un stimulus extérieur (événement perturbant, charge de travail importante…), l’anxiété est un sentiment d’inquiétude diffus et permanent, dont les causes sont souvent plus difficiles à identifier. Dans les deux cas, cela se manifeste par une augmentation de l’activité cérébrale et un organisme en alerte, qui retardent et compliquent l’endormissement, et favorisent les réveils nocturnes.
Fort heureusement, l’insomnie à l’approche de la ménopause n’est pas une fatalité ! Ni l’insomnie en général d’ailleurs. Nous avons rassemblé pour vous quelques mesures simples pour diminuer vos problèmes d’insomnie à cette période si particulière de la vie.
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Avoir un sommeil de qualité, cela s’apprend. Même à la ménopause, vous pouvez tout à fait mettre en place de nouvelles habitudes pour aider votre corps à reprendre naturellement le chemin du sommeil.
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En plus de ces bonnes habitudes, utiles à tout âge, il existe aussi des solutions spéciales pour soulager l’insomnie liée aux bouleversements de la ménopause.
Vous pouvez par exemple :
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